Miért ? Pourquoi ?

Tintamarre : ensemble de sons éclatants et discordants provenant d'une même source ou de plusieurs sources différentes ; confusion bruyante mais non obligatoirement désagréable. Syn. tapage, tohu-bohu, chahut.

Magyar : qui est propre à la Hongrie, à ses habitants.

Et quand on nous connaît, on sait pourquoi tout cela !

dimanche 6 septembre 2009

Semaine doc 2009 - 6

Jour 6 - jeudi 13 août



[comme d'hab. j'en rajoute (entre parenthèses). Je n'avais pas encore parlé de François et son vélo. François n'avait pas mis le vélo sur la galerie de la voiture pour faire bôô !! Non, non ! Le matin, à l'heure où femmes et enfants dorment encore ou s'éveillent à peine, à l'heure où le Csab lui chaussait les baskets pour le footing, le François nous laissait pour passer un bon moment avec "La petite reine". Il revenait à chaque fois enchanté, nous racontant reliefs et cols traversés ou montés. La 2ème info de la veille que j'ai zappé c'est que nous - les 5 M - avions enfin réussi à mettre la main sur des Crocs. Bon vous savez ces petites savates plastoc qui au-delà du design, de la forme, de la couleur... allaient enfin nous permettre de soulager nos voûtes plantaires de normands doudouilles. Quel bonheur de pouvoir marcher sans se tortiller dans tous les sens (aux yeux de tous) sur la plage et d'accéder à des endroits glissants sans risquer la méchante blessure de vacances ! Enfin, la veille au soir, côté menu on a eu le droit à la daube de Nicolas. Je vous dis pas... une daube qui a mariné dans des litrons de vin depuis la veille, on s'est régalé. Y en a même qui en ont redemandé. ]


En ce jeudi, nous avions décidé d'une autre sortie collective. Lolo - dont les parents résident pas loin d'où nous nous trouvions - nous a proposé (avec Pascal of course !) de découvrir un petit coin sympa, pour un programme de baignade et de farniente royal. Donc nous voili partis, à une voiture supplémentaire prêt (vous vous souvenez Sylvie et Eric nous ont rejoints la veille ??) avec arrivés sur la plage le même rituel : sortir les gosses des voitures, les paniers-sacs, les rabanes-nattes, les frites de bain, les bouées, les brassards, etc. Non mais vu comme ça, ça vous fait juste sourire. Mais moi je vous le dis, ça peut faire peur !! Après quelques pas sur un petit chemin en longeant les roches, nous avons découvert un petit coin de paradis (si si on peut le dire car j'ai adôré !) avec de petits bassins naturels genre piscine en pleine nature, une cascade massante, des petits bacs d'eau pour permettre aux zouzous de barboter ou de jeter des cailloux (oh oui ça, ce fameux jeté des pierres, cailloux, objets en tout genre... les gamins adorent). On a même pu pêcher tellement c'était plein de poissons de toute taille. Bon quand on est dans l'eau, les poissons ça impressionne mais hors de l'eau, les z'enfants assis en brochette dirigés par le Grand pêcheur hongrois Csab, c'est super rigolo. Et quand on en attrape un, c'est encore mieux, on est proche de l'euphorie. SAUF que quand on a une seule canne à pêche pour 10 gamins, c'est pas toujours facile à gérer. Le midi, Lolo avait réservé à la guinguette juste à côté pour manger. Bon alors par chez nous (mais vous savez que j'adore comparer les mots de vocabulaire) si tu vas à la guinguette, c'est que tu as un canotier sur la tête, le pique-nique dans le panier en osier avec le gros rouge qui tâche, et les escarpins aux pieds. Et après avoir bien bu et s'être promené en barque sur la rivière juste à côté, l'après-midi on va danser à la guinguette. Là, dans cette guinguette que j'ai comparé à une paillotte, on y mange frites faites maison, viandes comme on veut et même petites fritures de poisson. Et c'était vraiment sympa. Bon c'est juste qu'avec la chaleur et le rosé aidant, on était vite tous Paf, complètement "assommés". Mais les enfants n'en ont pas profité pour faire trop de bêtises, heureusement ! Laissant la chaleur un peu passer, certains sont retournés au gîte pour se reposer, pendant que les autres ont repiqué une tête au même endroit de baignade que le matin. Au gîte, nous avons rassemblé les restes du frigidaire pour préparer une omelette améliorée et inventer un panaché de salades méli-mélo. De toute façon, comme tous les jours, on a bu l'apéro, on s'est régalé, on a rigolé. Ce soir-là, les joues reflétaient les bonnes couleurs du soleil et les esprits la sérénité d'un bon moment passé. Ce soir là, Eric et Sylvie ne sont pas partis et ont joué les prolongations (terme obligatoirement sportif) pour notre plus grand bonheur. Ce soir là, Anne a réussi à avoir des nouvelles de Tom-Tom et Christophe ayant à peine fini de bêcher et de récolter. Ce soir là, dans nos petits lits douillets, on est tous allés s'écrouler.

Aucun commentaire: